(Pour ceux qui ne parlent pas la langue, konnichiwa c’est bonjour en Japonais)
Nous y sommes finalement. Les vacances se sont faites attendre, mais le plaisir n’en est que plus fort.
Mais avant d’atteindre le pays du soleil levant, il a fallu beaucoup voyager. Si comme le dit le proverbe : « le bonheur n’est pas une destination, mais un chemin », nous avons eu beaucoup de bonheur. Levés à 8h15 mercredi, nous avons rallier l’aéroport de Lyon par le Rhône-Express (non sans narguer nos collègues restés au travail) pour un départ vers Munich à 12h50.
Après un saut de puce (à l’échelle de ce qui suit) et quelques minutes d’attente, nous voilà dans un avion pour Tokyo Haneda, durée du vol : 12h (et un peu de retard, probablement pour s’éviter un missile de la part de Pyongyang).
Il est important de noter qu’Amélie à été d’un calme olympien, puisqu’elle a même pu filmer le décollage!
Arrivés à Tokyo, après avoir montré patte blanche à plusieurs reprises, être passés devant un détecteur thermique (pas de malades sur une île) et avoir récupéré nos bagages ; d’ailleurs la douceur du personnel en charge de charger et décharger les valises ont eu raison de la valise d’Amélie (mais le personnel à été au petit soin pour nous rembourser) ; il a fallu se mettre en quête d’un bus pour rallier Shinjuku, quartier dans lequel notre hôtel se trouve.
Enfin, à Shinjuku il nous fallu marcher, nous perdre, demander à des Japonais (qui ne parlent définitivement QUE japonais) notre chemin…
14h nous avons enfin un toit! Enfin 14h pour nous mais 7h du matin pour vous, ça fait donc presque 24h de voyage!
Après avoir trouvé une smoking area (il est interdit de fumer dans la rue, sauf contre-indication), avoir mangé un morceau : Onigiri (triangle de riz fourré et entouré d’une feuille d’algue) pour Yann & hot-dog en pâte à beignet sur un bâton (on a pas compris le nom) pour Amélie.
On décide de faire une petite sieste avant de repartir.
Petite balade dans le quartier aux deux visages de Shinjuku. Entre les ruelles typiques calmes et parsemées de petits restaurants (10 personnes max) et les grandes rues pleines de grandes enseignes et de néons…
On a fait notre choix, on s’est arrêté dans un petit restaurant pour dîner : Ajipan.
Au menu, du bonheur en 3 façons : boeuf, choux & ciboulette ; onigiri grillé, sauce soja & champignons noirs salés ; tentacule de poulpe sautés au beurre.
Sans oublier l’amabilité des serveurs et cuisiniers, franchement les gens de ce pays sont accueillants, souriants, sympathiques, jusqu’à présent que du bonheur.
Sayonara mina-san !
Bon, j »espère que je fais pas un doublon!!!!!
Je suis ravie de vous voir si heureux,
Des bisous d’un Hérault , en alerte rouge, tant les pluies sont diluviennes!!!
Coucou, on a pensé pas mal à vous hier et probablement encore aujourd’hui. Pensez à nous donner des nouvelles de tout le monde qu’on soit pas inquiets.
Ici il est presque 10h, le sommeil à été lourd… 🙂
Haaaaaaa! C’est géniaaal! <3
Trop plein de trucs qui briiillent!
Que de dépaysement ! C’est vraiment la destination qui me fait envie depuis de nombreuses années. Merci de partager avec nous ce beau voyage.
Je me suis toujours demander comment fait-on pour se faire comprendre dans un pays si différent (culture, langue, alphabet… tous les panneaux sont incompréhensibles !) ? Un de vous deux a des notions de japonnais ?
Yann a quelques mots issus pour la plus part de la culture manga. Mais c’est clairement insuffisant pour se faire comprendre. On est également partis avec un lexique de mot utiles, on a fait quelques révisions pour les choses basiques.
Après, lorsqu’il s’agit de faire des phrases… c’est franchement difficile.
Dans ce genre de cas, on a aussi prévu d’utiliser une application de traduction sur mobile…
Bah vous êtes courageux de partir dans ces conditions 🙂
continuez bien !