Bom Dia !

Nouvelle destination 2015, le Portugal et plus précisément Lisbonne.

Les vacances se sont très faites attendre, le réveil à 7h du matin, un dimanche, premier week-end de repos, ça fait mal, mais c’est pour une bonne cause.

Après 2 petites heures de vol, très tranquille (merci chauffeur) et pendant lesquelles Amélie à prouvé ses progrès sur la voie de la zenitude du transport aérien…. nous arrivons à Lisbonne. « Heureux » de retrouver cette chaleur écrasante qui avait décidé de nous épargner ces dernières 48h!

Il est déjà 14h30, après avoir rallié notre hôtel, grâce au très charmant (et très pratique) métro direct, il nous était nécessaire de s’allonger un moment. 

Après cette providentielle sieste devant D&Co (car oui on a des chaînes de télévision françaises !) il commence à faire faim. 

Dehors, c’est l’arrivée du tour du Portugal (comme le tour de France mais avec plus de poils (la blague est faite, nous n’y reviendrons pas)), des gens cavalent par quelques 35°C, alors que d’autres gens attendent de les voir arriver… 

La ville est très jolie, les trottoirs en mosaïques assez impressionnants (bien qu’assez glissants), l’architecture des bâtiments a peu de choses à voir avec ce que nous connaissons chez nous. Les lignes sont très travaillées ; les moulures, omniprésentes.

Partis pour simplement se chercher un petit quelque chose à manger, on se retrouve à déambuler au grès des attractions que l’on semble apercevoir au loin. Sur la route on s’octroie même le plaisir de goûtés à quelques spécialités : brioche salée au lard, morue panée et fromage fondu…

On continue de marcher jusqu’à atteindre la baie, avant de faire demi-tour, non sans s’arrêter pour admirer le paysage et 2 choses attirent alors notre attention : un immense pont suspendu (Golden Gate?) ; une statue au bras ouverts (Corcovado ?).

On finit enfin par se recentrer sur l’objectif de départ (celui d’il y a 2h30) : manger, assis ! On s’est donc trouvé un petit restaurant bien sympathique, avec de très belles portions ! L’occasion aussi pour nous de se rendre compte qu’on ne comprend absolument rien au langage étrange de ces autochtones poilus (j’ai pas pu résister…)